Theranat matériels et thérapies pour la santé naturelle

Voici l’intérêt et les raisons d’investir dans un filtre à eau performant efficace et fiable.

 » L’eau en bouteille, souvent perçue comme une alternative plus pure et plus sûre à l’eau du robinet, cache une réalité inquiétante. Des études récentes révèlent une contamination alarmante par des particules de plastique invisibles, posant des risques potentiels pour la santé humaine et l’environnement. » 

Suite de cet article dans l’onglet « du plastique dans l’eau alimentaire et mes réponses dans les autres onglets ci-dessous.

L’eau osmosée dynamisée est la méthode parfaite et la plus performante pour rendre votre eau alimentaire pure et naturelle. Les différences entre les appareils se trouvent dans  la qualité des composants, l’ergonomie d’emploi, le service après-vente et surtout dans la qualité des membranes  d’osmose inverse car toutes ne sont pas égales. Tous les appareils Naturaquell vendu par Theranat réunissent absolument toutes les composantes de cette alchimie. 

Renseignements et commandes

Les faits alarmants.
Selon une étude publiée par Sciences et Avenir, l’eau contenue dans les bouteilles en plastique est contaminée par des microplastiques et des nanoplastiques. En moyenne, un litre d’eau en bouteille contient environ 325 particules de plastique. Ces particules proviennent principalement du processus d’embouteillage et de la dégradation des bouteilles elles-mêmes.

Une enquête menée dans onze pays européens a révélé que 63 % des échantillons d’eau en bouteille contenaient des polluants éternels. Ces substances, souvent invisibles à l’œil nu, peuvent avoir des effets néfastes sur la santé humaine, notamment des perturbations endocriniennes et des risques accrus de cancers.

Comparaison avec l’eau du robinet.
Les consommateurs qui choisissent l’eau en bouteille pour éviter les contaminants de l’eau du robinet pourraient être surpris d’apprendre que l’eau du robinet est souvent moins contaminée par les microplastiques. Une étude canadienne a montré que ceux qui boivent de l’eau en bouteille ingèrent 20 fois plus de plastique que ceux qui consomment de l’eau du robinet.

Les dangers des nanoplastiques.
Les nanoplastiques, en particulier, sont préoccupants en raison de leur capacité à pénétrer les barrières biologiques et à s’accumuler dans les organes. Une étude récente a révélé que les bouteilles d’eau en plastique contiennent en moyenne 240 000 fragments de plastique par litre, une concentration 10 à 100 fois plus élevée que les estimations précédentes.

Conclusion.
La contamination par les plastiques dans l’eau en bouteille est un problème de santé publique majeur qui nécessite une attention urgente. Les consommateurs doivent être informés des risques potentiels et encouragés à rechercher des alternatives plus sûres, comme l’eau du robinet filtrée. Les gouvernements et les industries doivent également prendre des mesures pour réduire la pollution plastique et protéger la santé publique. 🍶

En savoir plus :

■ [Sciences et Avenir] L’effrayante contamination dans les bouteilles en plastique : L’eau que nous buvons est polluée par des particules invisibles de plastique issues de l’activité humaine. Et logiquement, elle l’est encore plus quand elle est contenue dans une bouteille en plastique. (Réservé aux abonnés]

■ [Presse Citron] Eau en bouteille : êtes-vous exposé à des substances toxiques sans le savoir ? L’image immaculée de l’eau en bouteille se trouble à la lumière de récentes découvertes scientifiques.

Ce n’est pas la première fois que le sujet revient sur la table et même l’eau du robinet est concernée. Nos confrères de Radio France ont rapporté la semaine dernière les résultats d’une enquête qu’ils ont menée en France métropolitaine. Sur 89 échantillons testés : « 43 % contiennent des PFAS. 27 échantillons révèlent des PFAS interdites ou classées comme cancérogènes, dont cinq à des niveaux préoccupants » peut-on lire dans leur article. Plutôt inquiétant, étant donné l’extrême toxicité de ce groupe de composés chimiques.

L’alternative, préférée par de nombreux consommateurs, l’eau en bouteille, ne s’avère pas être une panacée. Si la publicité nous en envoie une image souvent très positive et synonyme de pureté, la réalité est toute autre. Un groupe de chercheurs qataris appartenant au campus Weill Cornell Medicine à Doha ont publié au mois de janvier une étude dans la revue BJM Global Health qui vient ébranler ces convictions.

Le plastique, un cheval de Troie dans une ressource vitale
En deuxième page du papier, les chercheurs nous avertissent : « La contamination plastique est omniprésente dans les bouteilles d’eau, avec des rapports suggérant une présence étendue allant de 10 % à 78 % des échantillons de bouteilles d’eau ». Un chiffre qui fait froid dans le dos et interpelle sur la qualité réelle de ce que nous considérons comme une source d’hydratation sûre.

Le coupable désigné ? Le contenant lui-même. Les bouteilles en plastique, loin d’être des écrins innocents, libèrent en réalité des composés dans l’organisme une fois l’eau ingérée. Bisphénol A, microplastiques, phtalates, alkylphénols, biphényles ploychlorés et ces fameuses PFAS. Les deux points communs de ces substances ? Elles sont toutes des polluants chimiques persistants et perturbateurs endocriniens.

Ces composés s’invitent donc subrepticement dans nos verres, particulièrement lorsque les bouteilles sont exposées à la chaleur ou stockées sur de longues périodes. Une contamination invisible mais bien réelle, aux conséquences sanitaires encore mal cernées.

Une enquête menée dans onze pays européens a révélé la présence de polluants éternels dans 63 % des échantillons d’eau en bouteille analysés. Un chiffre qui, paradoxalement, n’est guère plus rassurant pour l’eau du robinet, contaminée à 94 %.

Un fléau écologique aux proportions alarmantes.

Lire la suite sur [Presse-Citron.Net]

■ [Reporterre] Plastiques dans l’eau en bouteille : de 10 à 100 fois plus de particules que prévu : Quelque 240 000 fragments de plastique par litre d’eau en moyenne. C’est ce qu’ont décompté des chercheurs en analysant l’eau contenue dans les bouteilles en plastique, dans une étude publiée le 8 janvier dans la revue scientifique PNAS.

La qualité de l’eau en bouteille remise en cause.
Contrairement aux idées reçues, les eaux en bouteille ne sont pas forcément moins polluées que l’eau du robinet. Un réseau international d’organisations non gouvernementales a publié un rapport en 2023 indiquant que 63 % des échantillons d’eau en bouteilles issues de onze pays d’Europe présentait des traces de polluants éternels. Un chiffre qui atteint tout de même 94% dans les eaux du robinet.

Par ailleurs, si on en croit les chercheurs du Weill Cornell Medecine, entre 10 et 78 % des eaux en bouteille contiennent des contaminants. Leurs recherches ont établi la présence de phtalates, de bisphénol A et de microplastiques dans les eaux minérales. Des produits chimiques qui peuvent provoquer des cancers. Ces polluants proviennent tous du plastique avec lequel on produit les bouteilles et se répandent dans l’eau quand l’exposition à la chaleur est trop forte ou trop longue. 

Les dégâts de l’eau en bouteille sur l’environnement.
Chaque minute dans le monde, les consommateurs achètent un million de bouteilles d’eau en plastique. Des chiffres impressionnants qui représentent donc une véritable catastrophe pour l’environnement. En prenant en compte toute la chaîne de production, de l’extraction des matières premières à la fabrication, les bouteilles en plastique contribuent à hauteur de 0.5% aux émissions de gaz à effet de serre. De plus, les déchets que cela génère comptent pour 12 % de tous les déchets plastiques.

« La dépendance à l’eau en bouteille entraîne des coûts sanitaires, financiers et environnementaux importants, ce qui nécessite donc une réévaluation urgente de son utilisation généralisée. Les gouvernements doivent s’attaquer de toute urgence à ces problèmes par des campagnes d’éducation », expliquent les chercheurs du Weill Cornell Medecine dans des propos rapportés par Futura-Sciences. [Biba Magazine]

■ [Que Choisir] Eau en bouteille. Aux arômes de microplastiques : L’eau en bouteille n’échappe pas à la pollution généralisée de notre environnement par les plastiques. Une étude a compté près de 240 000 fragments de plastique par litre dans des bouteilles de plusieurs marques.

Les eaux en bouteille, bonnes pour la santé, vraiment ? Qu’elles soient minérales, naturelles, de source, ou encore de montagne, ces boissons n’échappent pas à la pollution généralisée de notre environnement : toutes sont contaminées par d’invisibles fragments de plastique. Ce n’est pas une surprise. Ce qui l’est, c’est l’ampleur de cette pollution : une étude américaine, publiée dans la revue scientifique Proceedings of the National Academy of Sciences le 8 janvier, décompte près de 240 000 fragments de micro et nanoplastiques par litre, pour différentes marques d’eau en bouteille !

90 % de ces particules sont des nanoplastiques ‒ inférieurs à 1 micromètre, soit 10 à 100 fois plus fins qu’un cheveu. Or, ce sont potentiellement les plus dangereux, car leur taille leur permet de pénétrer dans le système sanguin et les différents organes du corps, y compris le cerveau et les organes reproducteurs, et d’en perturber le fonctionnement. Mais on ignore encore l’ampleur de leur toxicité.

Polyamide, polystyrène, polypropylène, polyéthylène…
Autre information donnée par l’étude : la nature de ces plastiques. Le plus fréquent est le polyamide (nylon), suivi par le PET (polyéthylène téréphtalate). D’autres plastiques (polystyrène, polypropylène, polyéthylène, etc.) ont également été identifiés. Le PET et le polyéthylène proviennent du matériau utilisé pour fabriquer les bouteilles. Le polypropylène et le polyamide sont utilisés dans le traitement de l’eau – ainsi, les filtres pour la filtration par osmose inverse, une méthode classique d’épuration de l’eau, sont en polyamide. Quant au PVC et au polystyrène, ils contaminent l’eau en amont des usines d’embouteillage.

Alors, le salut est-il dans l’eau du robinet ? Elle contient probablement moins de plastiques (en particulier ceux liés à la filtration osmotique et à l’emballage). Pour autant, elle présente parfois des seuils trop élevés de pesticides, entre autres. S’il est aujourd’hui difficile de garantir une eau exempte de toute pollution, le prix fait en revanche la différence : l’eau du robinet est 50 à 100 fois moins chère que l’eau en bouteille, sans tenir compte du coût d’élimination des bouteilles plastique. [Que Choisir]

■ L’eau du robinet peut-elle complètement remplacer les bouteilles en plastique ?
 Ces résultats ont alerté les scientifiques car cette teneur en particules plastiques est 10 à 100 fois plus élevée que ce qui était estimé jusque-là. Ces particules sont à 90 % des nanoplastiques (au diamètre inférieur à 1 micromètre), le reste étant des microplastiques (1 micromètre à 5 millimètres). Or, les nanoparticules sont suspectées d’être les plus toxiques, car plus susceptibles de franchir les barrières du corps en raison de leur taille, rappellent les scientifiques.

« Nous pensons que toutes les eaux en bouteille contiennent des nanoplastiques »

Les chercheurs ont analysé pour leur étude des bouteilles appartenant à trois marques d’eau, sans révéler desquelles il s’agissait. « Nous pensons que toutes les eaux en bouteille contiennent des nanoplastiques, donc en mettre certaines en évidence pourrait être considéré comme injuste », a précisé Beizhan Yan, coauteur de l’étude, auprès de l’AFP.

D’autres études sont nécessaires pour mieux comprendre les conséquences possibles de ces particules sur la santé humaine mais certains travaux mettent notamment en avant des effets néfastes sur le système reproductif. « Si les gens sont inquiets à propos des nanoplastiques dans l’eau en bouteille, il est raisonnable de considérer des alternatives, comme l’eau du robinet », conseille Beizhan Yan.

■ [Biba Magazine] Voici pourquoi il faudrait urgemment cesser de boire de l’eau en bouteille plastique : Une équipe de chercheurs met en avant les dangers pour la santé et l’environnement de la consommation d’eau en bouteille.

Les publicités se multiplient pour pousser le consommateur à acheter de l’eau en bouteille et les récents scandales de contamination de l’eau du robinet ont fait le reste. Dans le monde, ce sont en effet pas moins de 480 milliards de litres qui sont bus chaque année, pour un chiffre d’affaires total de 360 milliards de dollars en 2024. Mais des chercheurs expliquent qu’il faudrait absolument revenir sur cette habitude et privilégier l’eau du robinet. On vous explique pourquoi.

Se passer de l’eau en bouteille.
Dans la revue BMJ Global Health, ce sont les chercheurs du Weill Cornell Medecine, un fameux institut situé au Qatar qui se sont penchés sur un sujet vital : la consommation et l’accès à l’eau potable. Ils ont d’abord rappelé la dure réalité des inégalités dans le monde. « Près de 2 milliards de personnes dans le monde ayant un accès limité ou inexistant à l’eau potable dépendent de l’eau en bouteille. Pour ces personnes, la question ne se pose donc pas. » 

« Mais pour le reste d’entre nous, c’est en grande partie un problème de commodité et de conviction inébranlable, aidée et encouragée par le marketing industriel, que l’eau en bouteille est plus sûre et souvent plus saine que l’eau du robinet. Or, ce n’est pas le cas », expliquent les chercheurs qui invitent donc, quand c’est possible, à se passer de l’eau en bouteille. Et leurs arguments, portant à la fois sur la santé humaine et la protection de l’environnement, sont plus que convaincants.

Faut-il continuer de consommer l’eau en bouteille ? Peut-on faire confiance à l’eau du robinet ? La première génère des déchets, la seconde est parfois contaminée par des pesticides, alors laquelle privilégier ? France 3 Grand Est a mené l’enquête. 🔎

■ [Microsoft BING ] Bouteilles d’Eau en Plastique : les Impacts Environnementaux. 🚰

COMMANDES et RENSEIGNEMENTS

Les faits alarmants.
Selon une étude publiée par Sciences et Avenir, l’eau contenue dans les bouteilles en plastique est contaminée par des microplastiques et des nanoplastiques. En moyenne, un litre d’eau en bouteille contient environ 325 particules de plastique. Ces particules proviennent principalement du processus d’embouteillage et de la dégradation des bouteilles elles-mêmes.

Une enquête menée dans onze pays européens a révélé que 63 % des échantillons d’eau en bouteille contenaient des polluants éternels. Ces substances, souvent invisibles à l’œil nu, peuvent avoir des effets néfastes sur la santé humaine, notamment des perturbations endocriniennes et des risques accrus de cancers.

Comparaison avec l’eau du robinet.
Les consommateurs qui choisissent l’eau en bouteille pour éviter les contaminants de l’eau du robinet pourraient être surpris d’apprendre que l’eau du robinet est souvent moins contaminée par les microplastiques. Une étude canadienne a montré que ceux qui boivent de l’eau en bouteille ingèrent 20 fois plus de plastique que ceux qui consomment de l’eau du robinet.

Les dangers des nanoplastiques.
Les nanoplastiques, en particulier, sont préoccupants en raison de leur capacité à pénétrer les barrières biologiques et à s’accumuler dans les organes. Une étude récente a révélé que les bouteilles d’eau en plastique contiennent en moyenne 240 000 fragments de plastique par litre, une concentration 10 à 100 fois plus élevée que les estimations précédentes.

Conclusion.
La contamination par les plastiques dans l’eau en bouteille est un problème de santé publique majeur qui nécessite une attention urgente. Les consommateurs doivent être informés des risques potentiels et encouragés à rechercher des alternatives plus sûres, comme l’eau du robinet filtrée. Les gouvernements et les industries doivent également prendre des mesures pour réduire la pollution plastique et protéger la santé publique. 🍶

En savoir plus :

■ [Sciences et Avenir] L’effrayante contamination dans les bouteilles en plastique : L’eau que nous buvons est polluée par des particules invisibles de plastique issues de l’activité humaine. Et logiquement, elle l’est encore plus quand elle est contenue dans une bouteille en plastique. (Réservé aux abonnés]

■ [Presse Citron] Eau en bouteille : êtes-vous exposé à des substances toxiques sans le savoir ? L’image immaculée de l’eau en bouteille se trouble à la lumière de récentes découvertes scientifiques.

Ce n’est pas la première fois que le sujet revient sur la table et même l’eau du robinet est concernée. Nos confrères de Radio France ont rapporté la semaine dernière les résultats d’une enquête qu’ils ont menée en France métropolitaine. Sur 89 échantillons testés : « 43 % contiennent des PFAS. 27 échantillons révèlent des PFAS interdites ou classées comme cancérogènes, dont cinq à des niveaux préoccupants » peut-on lire dans leur article. Plutôt inquiétant, étant donné l’extrême toxicité de ce groupe de composés chimiques.

L’alternative, préférée par de nombreux consommateurs, l’eau en bouteille, ne s’avère pas être une panacée. Si la publicité nous en envoie une image souvent très positive et synonyme de pureté, la réalité est toute autre. Un groupe de chercheurs qataris appartenant au campus Weill Cornell Medicine à Doha ont publié au mois de janvier une étude dans la revue BJM Global Health qui vient ébranler ces convictions.

Le plastique, un cheval de Troie dans une ressource vitale
En deuxième page du papier, les chercheurs nous avertissent : « La contamination plastique est omniprésente dans les bouteilles d’eau, avec des rapports suggérant une présence étendue allant de 10 % à 78 % des échantillons de bouteilles d’eau ». Un chiffre qui fait froid dans le dos et interpelle sur la qualité réelle de ce que nous considérons comme une source d’hydratation sûre.

Le coupable désigné ? Le contenant lui-même. Les bouteilles en plastique, loin d’être des écrins innocents, libèrent en réalité des composés dans l’organisme une fois l’eau ingérée. Bisphénol A, microplastiques, phtalates, alkylphénols, biphényles ploychlorés et ces fameuses PFAS. Les deux points communs de ces substances ? Elles sont toutes des polluants chimiques persistants et perturbateurs endocriniens.

Ces composés s’invitent donc subrepticement dans nos verres, particulièrement lorsque les bouteilles sont exposées à la chaleur ou stockées sur de longues périodes. Une contamination invisible mais bien réelle, aux conséquences sanitaires encore mal cernées.

Une enquête menée dans onze pays européens a révélé la présence de polluants éternels dans 63 % des échantillons d’eau en bouteille analysés. Un chiffre qui, paradoxalement, n’est guère plus rassurant pour l’eau du robinet, contaminée à 94 %.

Un fléau écologique aux proportions alarmantes.

Lire la suite sur [Presse-Citron.Net]

■ [Reporterre] Plastiques dans l’eau en bouteille : de 10 à 100 fois plus de particules que prévu : Quelque 240 000 fragments de plastique par litre d’eau en moyenne. C’est ce qu’ont décompté des chercheurs en analysant l’eau contenue dans les bouteilles en plastique, dans une étude publiée le 8 janvier dans la revue scientifique PNAS.

La qualité de l’eau en bouteille remise en cause.
Contrairement aux idées reçues, les eaux en bouteille ne sont pas forcément moins polluées que l’eau du robinet. Un réseau international d’organisations non gouvernementales a publié un rapport en 2023 indiquant que 63 % des échantillons d’eau en bouteilles issues de onze pays d’Europe présentait des traces de polluants éternels. Un chiffre qui atteint tout de même 94% dans les eaux du robinet.

Par ailleurs, si on en croit les chercheurs du Weill Cornell Medecine, entre 10 et 78 % des eaux en bouteille contiennent des contaminants. Leurs recherches ont établi la présence de phtalates, de bisphénol A et de microplastiques dans les eaux minérales. Des produits chimiques qui peuvent provoquer des cancers. Ces polluants proviennent tous du plastique avec lequel on produit les bouteilles et se répandent dans l’eau quand l’exposition à la chaleur est trop forte ou trop longue. 

Les dégâts de l’eau en bouteille sur l’environnement.
Chaque minute dans le monde, les consommateurs achètent un million de bouteilles d’eau en plastique. Des chiffres impressionnants qui représentent donc une véritable catastrophe pour l’environnement. En prenant en compte toute la chaîne de production, de l’extraction des matières premières à la fabrication, les bouteilles en plastique contribuent à hauteur de 0.5% aux émissions de gaz à effet de serre. De plus, les déchets que cela génère comptent pour 12 % de tous les déchets plastiques.

« La dépendance à l’eau en bouteille entraîne des coûts sanitaires, financiers et environnementaux importants, ce qui nécessite donc une réévaluation urgente de son utilisation généralisée. Les gouvernements doivent s’attaquer de toute urgence à ces problèmes par des campagnes d’éducation », expliquent les chercheurs du Weill Cornell Medecine dans des propos rapportés par Futura-Sciences. [Biba Magazine]

■ [Que Choisir] Eau en bouteille. Aux arômes de microplastiques : L’eau en bouteille n’échappe pas à la pollution généralisée de notre environnement par les plastiques. Une étude a compté près de 240 000 fragments de plastique par litre dans des bouteilles de plusieurs marques.

Les eaux en bouteille, bonnes pour la santé, vraiment ? Qu’elles soient minérales, naturelles, de source, ou encore de montagne, ces boissons n’échappent pas à la pollution généralisée de notre environnement : toutes sont contaminées par d’invisibles fragments de plastique. Ce n’est pas une surprise. Ce qui l’est, c’est l’ampleur de cette pollution : une étude américaine, publiée dans la revue scientifique Proceedings of the National Academy of Sciences le 8 janvier, décompte près de 240 000 fragments de micro et nanoplastiques par litre, pour différentes marques d’eau en bouteille !

90 % de ces particules sont des nanoplastiques ‒ inférieurs à 1 micromètre, soit 10 à 100 fois plus fins qu’un cheveu. Or, ce sont potentiellement les plus dangereux, car leur taille leur permet de pénétrer dans le système sanguin et les différents organes du corps, y compris le cerveau et les organes reproducteurs, et d’en perturber le fonctionnement. Mais on ignore encore l’ampleur de leur toxicité.

Polyamide, polystyrène, polypropylène, polyéthylène…
Autre information donnée par l’étude : la nature de ces plastiques. Le plus fréquent est le polyamide (nylon), suivi par le PET (polyéthylène téréphtalate). D’autres plastiques (polystyrène, polypropylène, polyéthylène, etc.) ont également été identifiés. Le PET et le polyéthylène proviennent du matériau utilisé pour fabriquer les bouteilles. Le polypropylène et le polyamide sont utilisés dans le traitement de l’eau – ainsi, les filtres pour la filtration par osmose inverse, une méthode classique d’épuration de l’eau, sont en polyamide. Quant au PVC et au polystyrène, ils contaminent l’eau en amont des usines d’embouteillage.

Alors, le salut est-il dans l’eau du robinet ? Elle contient probablement moins de plastiques (en particulier ceux liés à la filtration osmotique et à l’emballage). Pour autant, elle présente parfois des seuils trop élevés de pesticides, entre autres. S’il est aujourd’hui difficile de garantir une eau exempte de toute pollution, le prix fait en revanche la différence : l’eau du robinet est 50 à 100 fois moins chère que l’eau en bouteille, sans tenir compte du coût d’élimination des bouteilles plastique. [Que Choisir]

■ L’eau du robinet peut-elle complètement remplacer les bouteilles en plastique ?
 Ces résultats ont alerté les scientifiques car cette teneur en particules plastiques est 10 à 100 fois plus élevée que ce qui était estimé jusque-là. Ces particules sont à 90 % des nanoplastiques (au diamètre inférieur à 1 micromètre), le reste étant des microplastiques (1 micromètre à 5 millimètres). Or, les nanoparticules sont suspectées d’être les plus toxiques, car plus susceptibles de franchir les barrières du corps en raison de leur taille, rappellent les scientifiques.

« Nous pensons que toutes les eaux en bouteille contiennent des nanoplastiques »

Les chercheurs ont analysé pour leur étude des bouteilles appartenant à trois marques d’eau, sans révéler desquelles il s’agissait. « Nous pensons que toutes les eaux en bouteille contiennent des nanoplastiques, donc en mettre certaines en évidence pourrait être considéré comme injuste », a précisé Beizhan Yan, coauteur de l’étude, auprès de l’AFP.

D’autres études sont nécessaires pour mieux comprendre les conséquences possibles de ces particules sur la santé humaine mais certains travaux mettent notamment en avant des effets néfastes sur le système reproductif. « Si les gens sont inquiets à propos des nanoplastiques dans l’eau en bouteille, il est raisonnable de considérer des alternatives, comme l’eau du robinet », conseille Beizhan Yan.

■ [Biba Magazine] Voici pourquoi il faudrait urgemment cesser de boire de l’eau en bouteille plastique : Une équipe de chercheurs met en avant les dangers pour la santé et l’environnement de la consommation d’eau en bouteille.

Les publicités se multiplient pour pousser le consommateur à acheter de l’eau en bouteille et les récents scandales de contamination de l’eau du robinet ont fait le reste. Dans le monde, ce sont en effet pas moins de 480 milliards de litres qui sont bus chaque année, pour un chiffre d’affaires total de 360 milliards de dollars en 2024. Mais des chercheurs expliquent qu’il faudrait absolument revenir sur cette habitude et privilégier l’eau du robinet. On vous explique pourquoi.

Se passer de l’eau en bouteille.
Dans la revue BMJ Global Health, ce sont les chercheurs du Weill Cornell Medecine, un fameux institut situé au Qatar qui se sont penchés sur un sujet vital : la consommation et l’accès à l’eau potable. Ils ont d’abord rappelé la dure réalité des inégalités dans le monde. « Près de 2 milliards de personnes dans le monde ayant un accès limité ou inexistant à l’eau potable dépendent de l’eau en bouteille. Pour ces personnes, la question ne se pose donc pas. » 

« Mais pour le reste d’entre nous, c’est en grande partie un problème de commodité et de conviction inébranlable, aidée et encouragée par le marketing industriel, que l’eau en bouteille est plus sûre et souvent plus saine que l’eau du robinet. Or, ce n’est pas le cas », expliquent les chercheurs qui invitent donc, quand c’est possible, à se passer de l’eau en bouteille. Et leurs arguments, portant à la fois sur la santé humaine et la protection de l’environnement, sont plus que convaincants.

Faut-il continuer de consommer l’eau en bouteille ? Peut-on faire confiance à l’eau du robinet ? La première génère des déchets, la seconde est parfois contaminée par des pesticides, alors laquelle privilégier ? France 3 Grand Est a mené l’enquête. 🔎

■ [Microsoft BING ] Bouteilles d’Eau en Plastique : les Impacts Environnementaux. 🚰

COMMANDES et RENSEIGNEMENTS

Les faits alarmants.
Selon une étude publiée par Sciences et Avenir, l’eau contenue dans les bouteilles en plastique est contaminée par des microplastiques et des nanoplastiques. En moyenne, un litre d’eau en bouteille contient environ 325 particules de plastique. Ces particules proviennent principalement du processus d’embouteillage et de la dégradation des bouteilles elles-mêmes.

Une enquête menée dans onze pays européens a révélé que 63 % des échantillons d’eau en bouteille contenaient des polluants éternels. Ces substances, souvent invisibles à l’œil nu, peuvent avoir des effets néfastes sur la santé humaine, notamment des perturbations endocriniennes et des risques accrus de cancers.

Comparaison avec l’eau du robinet.
Les consommateurs qui choisissent l’eau en bouteille pour éviter les contaminants de l’eau du robinet pourraient être surpris d’apprendre que l’eau du robinet est souvent moins contaminée par les microplastiques. Une étude canadienne a montré que ceux qui boivent de l’eau en bouteille ingèrent 20 fois plus de plastique que ceux qui consomment de l’eau du robinet.

Les dangers des nanoplastiques.
Les nanoplastiques, en particulier, sont préoccupants en raison de leur capacité à pénétrer les barrières biologiques et à s’accumuler dans les organes. Une étude récente a révélé que les bouteilles d’eau en plastique contiennent en moyenne 240 000 fragments de plastique par litre, une concentration 10 à 100 fois plus élevée que les estimations précédentes.

Conclusion.
La contamination par les plastiques dans l’eau en bouteille est un problème de santé publique majeur qui nécessite une attention urgente. Les consommateurs doivent être informés des risques potentiels et encouragés à rechercher des alternatives plus sûres, comme l’eau du robinet filtrée. Les gouvernements et les industries doivent également prendre des mesures pour réduire la pollution plastique et protéger la santé publique. 🍶

En savoir plus :

■ [Sciences et Avenir] L’effrayante contamination dans les bouteilles en plastique : L’eau que nous buvons est polluée par des particules invisibles de plastique issues de l’activité humaine. Et logiquement, elle l’est encore plus quand elle est contenue dans une bouteille en plastique. (Réservé aux abonnés]

■ [Presse Citron] Eau en bouteille : êtes-vous exposé à des substances toxiques sans le savoir ? L’image immaculée de l’eau en bouteille se trouble à la lumière de récentes découvertes scientifiques.

Ce n’est pas la première fois que le sujet revient sur la table et même l’eau du robinet est concernée. Nos confrères de Radio France ont rapporté la semaine dernière les résultats d’une enquête qu’ils ont menée en France métropolitaine. Sur 89 échantillons testés : « 43 % contiennent des PFAS. 27 échantillons révèlent des PFAS interdites ou classées comme cancérogènes, dont cinq à des niveaux préoccupants » peut-on lire dans leur article. Plutôt inquiétant, étant donné l’extrême toxicité de ce groupe de composés chimiques.

L’alternative, préférée par de nombreux consommateurs, l’eau en bouteille, ne s’avère pas être une panacée. Si la publicité nous en envoie une image souvent très positive et synonyme de pureté, la réalité est toute autre. Un groupe de chercheurs qataris appartenant au campus Weill Cornell Medicine à Doha ont publié au mois de janvier une étude dans la revue BJM Global Health qui vient ébranler ces convictions.

Le plastique, un cheval de Troie dans une ressource vitale
En deuxième page du papier, les chercheurs nous avertissent : « La contamination plastique est omniprésente dans les bouteilles d’eau, avec des rapports suggérant une présence étendue allant de 10 % à 78 % des échantillons de bouteilles d’eau ». Un chiffre qui fait froid dans le dos et interpelle sur la qualité réelle de ce que nous considérons comme une source d’hydratation sûre.

Le coupable désigné ? Le contenant lui-même. Les bouteilles en plastique, loin d’être des écrins innocents, libèrent en réalité des composés dans l’organisme une fois l’eau ingérée. Bisphénol A, microplastiques, phtalates, alkylphénols, biphényles ploychlorés et ces fameuses PFAS. Les deux points communs de ces substances ? Elles sont toutes des polluants chimiques persistants et perturbateurs endocriniens.

Ces composés s’invitent donc subrepticement dans nos verres, particulièrement lorsque les bouteilles sont exposées à la chaleur ou stockées sur de longues périodes. Une contamination invisible mais bien réelle, aux conséquences sanitaires encore mal cernées.

Une enquête menée dans onze pays européens a révélé la présence de polluants éternels dans 63 % des échantillons d’eau en bouteille analysés. Un chiffre qui, paradoxalement, n’est guère plus rassurant pour l’eau du robinet, contaminée à 94 %.

Un fléau écologique aux proportions alarmantes.

Lire la suite sur [Presse-Citron.Net]

■ [Reporterre] Plastiques dans l’eau en bouteille : de 10 à 100 fois plus de particules que prévu : Quelque 240 000 fragments de plastique par litre d’eau en moyenne. C’est ce qu’ont décompté des chercheurs en analysant l’eau contenue dans les bouteilles en plastique, dans une étude publiée le 8 janvier dans la revue scientifique PNAS.

La qualité de l’eau en bouteille remise en cause.
Contrairement aux idées reçues, les eaux en bouteille ne sont pas forcément moins polluées que l’eau du robinet. Un réseau international d’organisations non gouvernementales a publié un rapport en 2023 indiquant que 63 % des échantillons d’eau en bouteilles issues de onze pays d’Europe présentait des traces de polluants éternels. Un chiffre qui atteint tout de même 94% dans les eaux du robinet.

Par ailleurs, si on en croit les chercheurs du Weill Cornell Medecine, entre 10 et 78 % des eaux en bouteille contiennent des contaminants. Leurs recherches ont établi la présence de phtalates, de bisphénol A et de microplastiques dans les eaux minérales. Des produits chimiques qui peuvent provoquer des cancers. Ces polluants proviennent tous du plastique avec lequel on produit les bouteilles et se répandent dans l’eau quand l’exposition à la chaleur est trop forte ou trop longue. 

Les dégâts de l’eau en bouteille sur l’environnement.
Chaque minute dans le monde, les consommateurs achètent un million de bouteilles d’eau en plastique. Des chiffres impressionnants qui représentent donc une véritable catastrophe pour l’environnement. En prenant en compte toute la chaîne de production, de l’extraction des matières premières à la fabrication, les bouteilles en plastique contribuent à hauteur de 0.5% aux émissions de gaz à effet de serre. De plus, les déchets que cela génère comptent pour 12 % de tous les déchets plastiques.

« La dépendance à l’eau en bouteille entraîne des coûts sanitaires, financiers et environnementaux importants, ce qui nécessite donc une réévaluation urgente de son utilisation généralisée. Les gouvernements doivent s’attaquer de toute urgence à ces problèmes par des campagnes d’éducation », expliquent les chercheurs du Weill Cornell Medecine dans des propos rapportés par Futura-Sciences. [Biba Magazine]

■ [Que Choisir] Eau en bouteille. Aux arômes de microplastiques : L’eau en bouteille n’échappe pas à la pollution généralisée de notre environnement par les plastiques. Une étude a compté près de 240 000 fragments de plastique par litre dans des bouteilles de plusieurs marques.

Les eaux en bouteille, bonnes pour la santé, vraiment ? Qu’elles soient minérales, naturelles, de source, ou encore de montagne, ces boissons n’échappent pas à la pollution généralisée de notre environnement : toutes sont contaminées par d’invisibles fragments de plastique. Ce n’est pas une surprise. Ce qui l’est, c’est l’ampleur de cette pollution : une étude américaine, publiée dans la revue scientifique Proceedings of the National Academy of Sciences le 8 janvier, décompte près de 240 000 fragments de micro et nanoplastiques par litre, pour différentes marques d’eau en bouteille !

90 % de ces particules sont des nanoplastiques ‒ inférieurs à 1 micromètre, soit 10 à 100 fois plus fins qu’un cheveu. Or, ce sont potentiellement les plus dangereux, car leur taille leur permet de pénétrer dans le système sanguin et les différents organes du corps, y compris le cerveau et les organes reproducteurs, et d’en perturber le fonctionnement. Mais on ignore encore l’ampleur de leur toxicité.

Polyamide, polystyrène, polypropylène, polyéthylène…
Autre information donnée par l’étude : la nature de ces plastiques. Le plus fréquent est le polyamide (nylon), suivi par le PET (polyéthylène téréphtalate). D’autres plastiques (polystyrène, polypropylène, polyéthylène, etc.) ont également été identifiés. Le PET et le polyéthylène proviennent du matériau utilisé pour fabriquer les bouteilles. Le polypropylène et le polyamide sont utilisés dans le traitement de l’eau – ainsi, les filtres pour la filtration par osmose inverse, une méthode classique d’épuration de l’eau, sont en polyamide. Quant au PVC et au polystyrène, ils contaminent l’eau en amont des usines d’embouteillage.

Alors, le salut est-il dans l’eau du robinet ? Elle contient probablement moins de plastiques (en particulier ceux liés à la filtration osmotique et à l’emballage). Pour autant, elle présente parfois des seuils trop élevés de pesticides, entre autres. S’il est aujourd’hui difficile de garantir une eau exempte de toute pollution, le prix fait en revanche la différence : l’eau du robinet est 50 à 100 fois moins chère que l’eau en bouteille, sans tenir compte du coût d’élimination des bouteilles plastique. [Que Choisir]

■ L’eau du robinet peut-elle complètement remplacer les bouteilles en plastique ?
 Ces résultats ont alerté les scientifiques car cette teneur en particules plastiques est 10 à 100 fois plus élevée que ce qui était estimé jusque-là. Ces particules sont à 90 % des nanoplastiques (au diamètre inférieur à 1 micromètre), le reste étant des microplastiques (1 micromètre à 5 millimètres). Or, les nanoparticules sont suspectées d’être les plus toxiques, car plus susceptibles de franchir les barrières du corps en raison de leur taille, rappellent les scientifiques.

« Nous pensons que toutes les eaux en bouteille contiennent des nanoplastiques »

Les chercheurs ont analysé pour leur étude des bouteilles appartenant à trois marques d’eau, sans révéler desquelles il s’agissait. « Nous pensons que toutes les eaux en bouteille contiennent des nanoplastiques, donc en mettre certaines en évidence pourrait être considéré comme injuste », a précisé Beizhan Yan, coauteur de l’étude, auprès de l’AFP.

D’autres études sont nécessaires pour mieux comprendre les conséquences possibles de ces particules sur la santé humaine mais certains travaux mettent notamment en avant des effets néfastes sur le système reproductif. « Si les gens sont inquiets à propos des nanoplastiques dans l’eau en bouteille, il est raisonnable de considérer des alternatives, comme l’eau du robinet », conseille Beizhan Yan.

■ [Biba Magazine] Voici pourquoi il faudrait urgemment cesser de boire de l’eau en bouteille plastique : Une équipe de chercheurs met en avant les dangers pour la santé et l’environnement de la consommation d’eau en bouteille.

Les publicités se multiplient pour pousser le consommateur à acheter de l’eau en bouteille et les récents scandales de contamination de l’eau du robinet ont fait le reste. Dans le monde, ce sont en effet pas moins de 480 milliards de litres qui sont bus chaque année, pour un chiffre d’affaires total de 360 milliards de dollars en 2024. Mais des chercheurs expliquent qu’il faudrait absolument revenir sur cette habitude et privilégier l’eau du robinet. On vous explique pourquoi.

Se passer de l’eau en bouteille.
Dans la revue BMJ Global Health, ce sont les chercheurs du Weill Cornell Medecine, un fameux institut situé au Qatar qui se sont penchés sur un sujet vital : la consommation et l’accès à l’eau potable. Ils ont d’abord rappelé la dure réalité des inégalités dans le monde. « Près de 2 milliards de personnes dans le monde ayant un accès limité ou inexistant à l’eau potable dépendent de l’eau en bouteille. Pour ces personnes, la question ne se pose donc pas. » 

« Mais pour le reste d’entre nous, c’est en grande partie un problème de commodité et de conviction inébranlable, aidée et encouragée par le marketing industriel, que l’eau en bouteille est plus sûre et souvent plus saine que l’eau du robinet. Or, ce n’est pas le cas », expliquent les chercheurs qui invitent donc, quand c’est possible, à se passer de l’eau en bouteille. Et leurs arguments, portant à la fois sur la santé humaine et la protection de l’environnement, sont plus que convaincants.

Faut-il continuer de consommer l’eau en bouteille ? Peut-on faire confiance à l’eau du robinet ? La première génère des déchets, la seconde est parfois contaminée par des pesticides, alors laquelle privilégier ? France 3 Grand Est a mené l’enquête. 🔎

■ [Microsoft BING ] Bouteilles d’Eau en Plastique : les Impacts Environnementaux. 🚰

COMMANDES et RENSEIGNEMENTS

Sels minéraux… ou pas? Telle est la question. 

Il est assez fréquent que l’on me reproche le fait que tous les sels minéraux (ou presque) sont absents de l’eau osmosée. Sur internet on trouve des textes affirmant que cela est négatif pour la santé et que sels minéraux de l’eau alimentaire sont indispensables pour minéraliser nos os et nos dents par exemple. Cela créerait la déminéralisation… Il faudrait donc boire de l’eau minérale, sous-entendu bien minéralisée, pour être en forme.
Je suis persuadé que ces arguments sont faux. Réfléchissons plutôt que laisser notre émotionnel prendre les commandes. Par sels minéraux, on entend le magnésium, le fer, le sodium, le calcaire et d’autres toujours sous forme de sulfate, chlorures, sulfates, nitrites,  nitrates, etc. C’est pourquoi on parle de « sels ». 

Quelques questionnements

  • Les lois de la Vie disent que le minéral nourrit le végétal, le végétal nourrit l’animal y compris celui que nous sommes (source: médecine ancestrale chinoise)
  • Les sels minéraux peuvent exister dans différentes formes moléculaires. Quelles formes moléculaires sommes-nous, en tant qu’humains, capable de digérer et d’assimiler?
  • Que deviennent dans notre organisme, ces sels minéraux? Ou vont-ils?

Il y aurait certainement d’autres questions à débattre. Les réponses sont les suivantes:

La Vie ne peut être et se continuer sur la Planète Terre que grâce à l’eau. C’est elle qui régit toutes les fonctions du Vivant y compris minéral.

L’évidence est flagrante. Les Anciens avaient déjà compris, eux qui disposaient toujours d’eaux non polluées si ce n’est par des matières fécales animales ou humaines. 

Par exemple, le sel de cuisine (c’est un sel minéral) dans votre sachet ou bocal est cristallisé, en solution, il est dissous. Vous avez bien remarqué que le sel extrait industriellement d’une mine de sel n’a pas le même goût que celui provenant de salines au soleil. Ce processus est identique pour l’ensemble des sels minéraux. Le résultat sera que l’organisme, ayant reçu un produit alimentaire « mort » ne saura pas qu’en faire et le stockera dans vos reins, vos tissus, vos os, vos muscles. Bonjour l’artériosclérose, les rétentions d’eau, les insuffisances rénales, l’arthrose, les proliférations osseuse mal-venues, etc.

Pour mémoire, un sel marin ayant été obtenu par l’évaporation de l’eau grâce au soleil des Salines au soleil est beaucoup moins agressif sur votre palais et immensément plus riche en sels minéraux divers assimilables.

Un sel minéral ayant transité par le métabolisme végétal sera vivant – viabilisé – donc assimilable. Il aura un système de cristallisation en mesure de nourrir votre sang et vos tissus organiques. La construction, la régénération de votre corps se fera harmonieusement. Adieu les maladies.

Connaissant maintenant tous ces renseignements, pensez-vous toujours qu’il est bon de rajouter des sels minéraux ou de boire des eaux minéralisée’

En fait, l’eau que nous buvons doit être pauvre en sels minéraux car nous ne les trouvons que dans le monde végétal. En voyage, vous n’aurez pas toujours un osmoseur Theranat avec vous, vous pourrez vous procurer la meilleure eau possible si vous savez déchiffrer les étiquettes. Vous trouvez ce renseignement sur l’étiquette de déclaration de la composition de l’eau contenue dans la bouteille convoitée. Explication: Le chiffre indiquant la minéralisation totale ne doit pas excéder 200 mg/lt. Plus il est bas 20 à 100 par exemple), meilleure sera votre eau. Mais aussi, plus faible sera sa teneur en micropolluants. 

La corvée de l’eau

L’eau n’est pas toujours arrivée, en abondance par un tuyau, jusque dans nos cuisine et nos salles de bains. Durant des millénaires, il a fallu aller la chercher dans des récipients et c’est encore le cas aujourd’hui pour de nombreuses populations. 

L’eau du robinet

Domestiquée depuis en haut de la montagne, prisonnière dans d’immenses réservoirs, un faune bactérienne, fongique ou même parasitaire se développe. Dans la nature, étant vivante, équilibrée, elle s’autoépure. Prisonnière, elle ne le fait plus. Il est donc indispensable de la traiter afin de la rendre consommable. Le chlore, sous forme d’hypochlorite de soude appelée communément extrait de Javel, est abondamment utilisé. Les rayon UV le sont de plus en plus. A cela s’ajoutent une foultitude de polluants et micropolluants de plus en plus abondants. Le chlore et les rayons UV, les filtrations et microfiltrations sont inefficaces pour éliminer ces polluants de plus en plus abondants. C’est devenu tellement grave que des services officiels d’adductions d’eau testent l’utilisation de membranes industrielles d’osmose inverse.
De plus, cette eau a été bousculée, martyrisée , comprimées dans des tuyauteries les plus diverses. La structure de la molécule d’eau en est « toute cassée ». 

L’eau en bouteille

Pour palier un certain nombre de ces inconvénients, l’industrie a développé la vente de bouteilles d’eau. Au début, c’étaient des bouteilles en verre. Maintenant c’est du PET de plus ou moins mauvaise qualité. En Europe, il parait que c’est un million de bouteilles PET qui sont vendues chaque seconde (j’ai pas encore pu vérifier ce chiffre). Cela fait beaucoup.
Ces millions de bouteilles d’eau doivent être transportées de la source jusque chez votre fournisseur. Combien faut-il de camions, c’est-à-dire de carburant diesel, pour effectuer ces transports? Je n’ai pas compté…
Ensuite vous allez probablement chercher ces bouteilles au magasin en utilisant votre voiture. En fait, il y a derrière un bouteille d’eau minérale en PET un grande quantité d’énergie dite « grise ». Même si l’eau minérale en bouteille est « locale », il y a un coût écologique. 
Cette eau est donc coûteuse financièrement et écologiquement. 
C’est cela la corvée moderne de l’eau. Mais elle existe toujours comme il y a des millénaire même si elle a changé. 

L’eau filtrée et purifiée par osmose inverse

Seriez-vous d’accord, grâce à la technologie, d’y échapper? Je pense que  votre réponse sera positive. Le seul moyen est d’installer un appareil dans votre cuisine. Cet appareil est, aujourd’hui, aussi indispensable que votre frigidaire ou votre eau courante à l’évier. Il vous apporte en abondance ou tout au moins autant d’eau que vous avez besoin pour votre famille et vous afin d’être utilisée pour tous les besoins de la cuisine (thé, tisanes, café, soupes, sauces, cuisson de céréales y compris les pâtes et toutes autres préparations). 
Cet appareil a un prix mais ,calculé sur 20 ans, il devient très raisonnable et le litre d’eau, moins coûteux que les bouteilles. Évidemment, comparé à l’eau du robinet et tous ses micropolluants et nanopolluants, il est moins avantageux. Par contre il n’y a aucuns risques que vous en soyez malades (au quotidien et parfois gravement) comme vous le risquez avec l’eau du robinet. Il faut aussi comparer les prix d’égal à égal c’est-à-dire avec de l’eau en bouteille de haute qualité. Compareriez-vous votre voiture de haut standing avec une voiture bas de gamme?

Tous ces arguments et ces raisons, développés progressivement durant ces 40 dernières années, m’ont permis de tester plusieurs appareils et rapidement de me déterminer pour l’osmose inverse. Le ferez-vous un jour?

Merci de m’avoir lu.

Aller sur la page du tarif et des conditions de vente

Le modèle ACTIV en blanc

Le modèle ACTIV en gris

Préfiltre à sédiment optionel

Le modèle Comfort avec son robinet à 3 voies.

Naturaquell® ACTIVE – le modèle flexible

Avec naturaquell® ACTIVE, naturaquell® a développé un produit qui correspond à 100% au besoin de rapidité et de simplicité de ses utilisateurs.

Avec naturaquell® ACTIVE, vous pouvez couvrir votre besoin en eau partout et en un très court laps de temps. La rapidité du processus de filtration ainsi que le choix proposé de certaines quantités (1 litre, 3/4 de litre, 1/2 litre, 1/4 de litre) rend le stockage provisoire de l’eau dans un réservoir obsolète.

Les années d’expérience acquises avec le système de traitement de l’eau naturaquell® PUROLUX ont servi de standard pour la qualité. C’est ainsi que naturaquell® ACTIVE n’a rien à envier à naturaquell® PUROLUX au niveau de la qualité et de la facilité de l’entretien. Ainsi, naturaquell® ACTIVE vous propose un procédé de traitement qui réunit les nouvelles possibilités techniques et la compétence issue de 25 années d’expérience.

Wasserfiltersystem ACTIVE
 

naturaquell® ACTIVE pour vous:

  • les derniers standards
  • préparation simple et rapide
  • peut être utilisé n’importe où et sans complication
  • pas de stockage d’eau nécessaire
  • à long terme,  moins cher que l’eau en bouteille
  • tous les consommables sont facilement interchangeables
  • autonettoyage
  • fonctionnement du dialogue avec affichage de toutes les unités opérationnelles et des fonctions
  • fraîcheur absolue et unique de l’eau

L’apport en eau doit dans tous les cas respecter la réglementation de l’eau. Si les valeurs de la réglementation sont dépassées, l’installation de filtres supplémentaires adaptés à la contamination est requise.

Séparation des substances qui peuvent être contenues dans l’eau:

Cations, anions, métaux lourds, composés inorganiques, composés organiques, composés aromatiques polycycliques, hydrocarbures chlorés, les pesticides et leurs produits de dégradation, les microorganismes, les résidus pharmaceutiques, les hormones et les trihalométhanes.

Les rejets des substances individuelles sont régies par les concentrations respectives et sont dans la fourchette de 80 à 99%.
Les virus et les bactéries à 100%.

Quantités d’eau sélectionnable: 0,25 litre, 0,5 litre, 0,75 litre et 1,0 litre

RENSEIGNEMENTS CONCERNANT L’APPAREIL

  • Dimensions:
    Largeur: 245 mm
    Hauteur: 500 mm
    Profondeur: 145 mm
  • Poids: 5,1 kg
  • Vitesse de production : 2-4 min / (pour une température de l’eau de 10 °C)
  • Rendement: 30-40%
  • Pression d’alimentation de fonctionnement: 1 à 7 bar
  • Puissance d’alimentation / AC adaptateur:
    Entrée: 110-230 volts / V AC 50/60 Hz
    Sortie: 24 V / DC / 2,5 A
  • Consommation électrique: max. 60 Watt
  • Conditions ambiantes: température de l’air 2 à 38 °C
  • Humidité: 25 à 90%

Source: https://www.natura-quell.com/fr/produits/active/

Le modèle COMFORT Naturaquell® pour un confort absolu

Avec naturaquell® COMFORT, naturaquell® a développé un produit qui correspond à 100% au besoin de rapidité et de simplicité de ses utilisateurs.

Avec naturaquell® COMFORT, vous pouvez couvrir votre besoin en eau partout et en un très court laps de temps. La rapidité du processus de filtration ainsi que le choix proposé de certaines quantités (1 litre, 3/4 de litre, 1/2 litre, 1/4 de litre) rend le stockage provisoire de l’eau dans un réservoir obsolète.

Les années d’expérience acquises avec le système de traitement de l’eau naturaquell® PUROLUX ont servi de standard pour la qualité. C’est ainsi que naturaquell® COMFORT n’a rien à envier à naturaquell® PUROLUX au niveau de la qualité et de la facilité de l’entretien. Ainsi, naturaquell® COMFORT vous propose un procédé de traitement qui réunit les nouvelles possibilités techniques et la compétence issue de 25 années d’expérience.

 

Naturaquell® COMFORT pour vous

  • les derniers standards
  • préparation simple et rapide
  • peut être utilisé n’importe où et sans complication
  • pas de stockage d’eau nécessaire
  • à long terme,  moins cher que l’eau en bouteille
  • tous les consommables sont facilement interchangeables
  • autonettoyage
  • fonctionnement du dialogue avec affichage de toutes les unités opérationnelles et des fonctions
  • fraîcheur absolue et unique de l’eau

L’apport en eau doit dans tous les cas respecter la réglementation de l’eau. Si les valeurs de la réglementation sont dépassées, l’installation de filtres supplémentaires adaptés à la contamination est requise.

Séparation des substances qui peuvent être contenues dans l’eau:
Cations, anions, métaux lourds, composés inorganiques, composés organiques, composés aromatiques polycycliques, hydrocarbures chlorés, les pesticides et leurs produits de dégradation, les microorganismes, les résidus pharmaceutiques, les hormones et les trihalométhanes.

Les rejets des substances individuelles sont régies par les concentrations respectives et sont dans la fourchette de 80 à 99%. Les virus et les bactéries à 100%.

Quantités d’eau sélectionnable: 0,25 litre, 0,5 litre, 0,75 litre et 1,0 litre

RENSEIGNEMENTS CONCERNANT L’APPAREIL

  • Dimensions:
    Largeur: 245 mm
    Hauteur: 500 mm
    Profondeur: 145 mm
  • Poids: 5,1 kg
  • Vitesse de production : 2-4 min /
    (pour une température de l’eau de 10 °C)
  • Rendement: 30-40%
  • Pression d’alimentation de fonctionnement: 1 à 7 bar
  • Puissance d’alimentation / AC adaptateur:
    Entrée: 110-230 volts / V AC 50/60 Hz
    Sortie: 24 V / DC / 2,5 A
  • Consommation électrique: max. 60 Watt
  • Conditions ambiantes: température de l’air 2 à 38 °C
  • Humidité: 25 à 90%

Source: https://www.natura-quell.com/fr/produits/active/